Le projet “Surimpression urbaine” s’organise autour d’un arc tendu, décrit par la nouvelle rue Henri Sellier. Cette nouvelle rue permet de fluidifier et de faciliter les déplacements, du nord-ouest vers le sud-est, en inscrivant dans une perspective commune un réseau d’espaces publics existants et à venir (nouvelle rue, nouvelle place,…).
Elle génère deux entités urbaines bien distinctes : l’une est en cours de réhabilitation et l’autre entièrement mutable. La partie mutable s’inscrit dans un aléatoire organisé qui s’immisce dans les interstices laissés libres par la configuration actuelle de la cité Sellier.
Ces interstices agissent comme une matrice à l’intérieur du projet. C’est une surimpression de la cité sur elle-même. Les interstices permettent, d’une part, de créer une grande porosité entre les jardins Neppert et la cité Sellier et, d’autre part, de garder intacte la densité de l’îlot en respectant un équilibre : un immeuble construit = un immeuble démoli.
Construction de logements
MULHOUSE CITÉ SELLIER
PROJET CITÉ